Le drone permet de mettre un couvert dans des parcelles de maïs, chose impossible à faire avec un tracteur. Plus de surface couverte, les objectifs sont donc plus facile à être atteint.

Il peux être responsable de perte de rendement allant jusqu’à 30%. Il accentue la difficulté de travail du sol. Ce problème implique aussi une usure prématuré du matériel, une puissance de traction supérieur et donc une consommation de GNR supérieur.

Vu la tendance actuelle du prix du carburant qui atteint des record, l’utilisation de nouvelle alternative est la bienvenue. Les drones sont optimisé pour être léger et donc moins énergivore.

Le tracteur n’est pas la principale émission de gaz à effet de serre en agriculture mais chaque geste compte. Moins de carburant, moins de CO², plus d’économie.

Le drone a l’avantage de ne pas être limité au passage du tracteur. Il n’abime pas les culture en passant au dessus. La hauteur du maïs n’est pas un soucis, c’est même sa spécialité.

N’étant pas impacter pas la trace du tracteur, il passe en rang plus serrer. Donc la répartition des semences est bien plus harmonieuse.

Le maïs est une culture qui n’apprécie pas trop la concurrence surtout en début de végétation. Il faut donc semer en fin de cycle. Et donc, au moment où le tracteur n’arrive plus à passer et qu’il faille donc utiliser un outils plus approprié pour ce travail.